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Coralie et JulienParticipant
Le courrier est bien celui qu’Ernest a déposé le matin. Or Ernest a remis son appareil dès son entretien avec la police, soit le 14 juillet matin. Difficile de suivre l’hypothèse d’une manipulation des photographies.
Coralie et JulienParticipantOui, ce fameux objet est bien le vase qui contient les pinceau de maquillage sur la coiffeuse.
Par ailleurs, il n’a sans doute pas disparu : comme l’a observé ceddun, la cadrage de la photo déchirée ne permet tout simplement pas de le voir (idem pour le petit cadre rose à droite de la lampe).
Reste la question : qu’est ce que cette photo prise par les policiers à leur arrivée pouvait bien receler de compromettant ?
Reste également la question de la disparition des deux verres et de la carafe.
Coralie et JulienParticipantLe vase est en verre vert, il est visible derrière le pied de la table au centre de l’image. En revanche les deux verres qui étaient sur la table semblent avoir disparu tout comme la carafe. Alors qu’ils étaient destinés à Rose Marie et Charles…
Un vase posé initialement devant le miroir pourrait être le fameux objet.
La photo déchirée et disparue a bien été prise par la police, il faut relire la page 15 !!!
Coralie et JulienParticipantOui, c’est la page 15.
La poubelle est à gauche du coussin rouge du tabouret renversé, l’objet dont il est question est juste en dessous, un peu recouvert par le ruban adhésif.
Coralie et JulienParticipantPage 86, il y a la corbeille bien visible, renversée à gauche du coussin rouge du tabouret, mais en dessous de celui-ci, il y a une forme rectangulaire d’un gris plus clair.
Coralie et JulienParticipantLe terme d’aventurière est employé dans la lettre, mais aussi par Heinrich pour qualifier Louise « d’aventurière des temps modernes, au même titre que Rose-Marie » (p 61)… Il est sans doute l’auteur de la lettre : Aurélien l’a trouvée à Toulouse, or c’est la dernière date de la tournée avant qu’Heinrich ne rejoigne la troupe à Bordeaux : s’il entretenait une correspondance, elle ne serait bientôt plus nécessaire.
Pourtant, Heinrich lit la lettre avec intérêt devant Aurélien, avant de rencontrer Louise. Soit il joue la comédie, soit il essaie de retenir une information importante.
Hypothèse farfelue : est-ce que cette lettre pourrait contenir le code du coffre, sur la base des touffes le long des tiges ? (1 gauche, 4 droite, 5 gauche, 5 droite). Apprenant par Aurélien que Rose-Marie a conservé sa lettre au fond d’un tiroir, Heinrich peut-il en avoir déduit que Rose-Marie s’en sert comme d’un pense-bête ? Et transmis le code à Louise ?
J’ai du mal à croire que Louise puisse être la destinataire de cette lettre par l’entremise de Rose-Marie comme le soupçonne Aurélien sous l’effet de sa jalousie maladive. Mais comme Heinrich a fait un retour express à Paris après le concert de Lyon le 14 mai il a très bien pu y passer du temps avec Louise avant qu’elle ne rejoigne la troupe pour le concert marseillais le 22 mai…
Coralie et JulienParticipantLouise Chanteloup porte une fleur dans les cheveux.
Elle ne porte plus rien dans le salon en compagnie d’Heinrich à 9h07 (p 84).
Puis elle porte un bijou de couleur identique mais de forme différente dans la loge après la mort de Charles Buisson (p 86). Le même bijou que sur le portrait de police (p 9 et 47).
Ce bijou viendrait-il de Trésors Exquis à Lyon (p 89) ? Était-ce le contenu du paquet qui a été ouvert par Heinrich entre la photo prise à 9h (p 88) et celle prise à 9h07 ? Le paquet contenait-il également un faux du collier de Rose-Marie, qui semble avoir été subtilisé sans qu’elle ne le remarque lors de l’inspection du contenu du coffre ?
Coralie et JulienParticipantUne photo recouvrait celle de la page 16 et a été arrachée. Elle n’a pas le même cadrage que celle de la page 86. Le rapport de police y fait référence page 17 : ils l’ont prise juste à leur arrivée.
Il y a bien un objet non identifié, apparemment métallique, qui se trouvait au sol à 9h25, mais plus après 9h33 (heure d’arrivée de la police devant le Castafiore).
Coralie et JulienParticipantLe coin inférieur droit est très sombre, mais il y a une masse rectangulaire grise sous ce qui semble être la tuyauterie. Est-ce un objet ?
Le tiroir derrière Charles Buisson est ouvert, un objet en dépasse qui semble être une règle articulée en métal. Est-ce Erneste Léglise qui a fouillé pour retrouver les clé ? Ou l’auteur de la disparition des clés ? Ou bien un autre objet était-il rangé là qui a été dérobé ?
Coralie et JulienParticipantUn objet gris traine au sol devant l’assise du tabouret renversé (dans le coin inférieur droit). S’agit-il de l’arme du crime ? De la valise ? (ou les deux ?).
En tous cas, l’objet a disparu lorsque la police prend sa photo (p.16), photo qui a d’ailleurs été arrachée. Sans doute par le même individu que celui qui a raturé tous les passages qui pouvaient mettre Cesare Pera en difficulté.
Coralie et JulienParticipantLa photographie de la scène de crime prise par la police a disparu : déchirée. Mais dans la partie qui reste, on voit que l’objet gris qui traînait au sol au niveau de l’assise du tabouret renversé (dans la photo prise par Ernest Léglise p.86) n’est plus là.
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